Morceaux de chevet par temps de confinement (Part 5)
Dernière partie de notre inventaire des 50 morceaux les plus cultissimes en ces temps confinés, de Kamasi Washington à Oscar Peterson, en passant par Aretha Franklin et Clifford Brown.
Dernière partie de notre inventaire des 50 morceaux les plus cultissimes en ces temps confinés, de Kamasi Washington à Oscar Peterson, en passant par Aretha Franklin et Clifford Brown.
On passe du 31e au 40e trésor musical à découvrir ou à redécouvrir en cette période de confinement, à l'ombre de Coltrane, Sinatra, Nancy Wilson, sans oublier d'autres artistes plus contemporains.
3e partie d'un "Best of" spécial morceaux de chevet réactivé dans la période corona-troublée que nous sommes en train de vivre. Charlie Parker et Bill Evans y font enfin leur apparition.
Le groove est triste, ce soir. Manu Dibango, le plus joyeux de ses prophètes, le baladin du monde africain, le saxophoniste qui ne jurait que par Harlem et par Sidney Bechet, a été emporté par le coronavirus à l'âge de 86 ans.
Suite de notre inventaire discographique par temps de coronavirus. Où il est notamment question, à présent, d'Ella, de Django, du Duke, ains que de deux morceaux de chevet qui se font écho l'un l'autre...
Les carnets de confinés suite au coronavirus, bof... Surtout quand en voit ce que cela donne ailleurs. Période plus opportune, en revanche, pour revisiter quelques morceaux de jazz ancrés dans notre ADN...
C'était un peu l'ancêtre de Piotr Pavlenski, mais avec une autre envergure... Relire à-ce-propos, après le décès de l'infréquentable Édouard Limonov, le magnifique roman que lui avait consacré Emmanuel Carrère en 2011.
Si loin, si proche... Avec "L'Amie américaine" (Éditions Stock), Serge Toubiana éclaire avec tact la complicité transatlantique entre François Truffaut et la publiciste new-yorkaise Helen Scott. Il en préserve aussi les pointillés.
Rien que le titre... Avec "Le Monstre de la mémoire", récit implacable sur l'impossible transmission du sens de la Shoah au sein même de la société israélienne, Yishaï Sarid fait œuvre de lanceur d'alerte.
Sous l'angle de la poésie, sept jeunes gens définissent leur rapport à une langue meurtrie par l'Histoire et dénaturée par les clichés. Avec "Yiddish", Nurith Aviv signe un documentaire lumineux vacciné contre tout passéisme.
Avant de faire escale le mois prochain au Théâtre de la Bastille, c'est à Ivry que "Le Silence et la Peur", mis en scène par David Geselson, fait revivre avec doigté et densité l'odyssée de Nina Simone.