• Et toute la vie devant nous

    Un style, une ampleur et un récit collectif qui n'a jamais été aussi personnel... Avec "Et toute la vie devant nous", Olivier Adam signe l'un de ses plus beaux romans.

  • Vichy: histoire d'une dictature (1940-1944)

  • Martial Solal manque beaucoup au film "Nouvelle vague"...

    Joyeux, soyeux, mais d'une candeur déconcertante. Pour le reste, raconter "À bout de souffle" en expulsant quasiment du scénario Martial Solal et sa B.O. de légende, ça fait un peu désordre...

  • Un simple accident

    Palme d'or de complaisance, "Un simple accident", de Jafar Panahi, représentera la France à l'Oscar du meilleur film international, comme si le courage de son réalisateur devait masquer la faiblesse de sa proposition.

  • Lagarce, fiction

    30 ans après la mort de Jean-Luc Lagarce ("Juste la fin du monde"), Charles Salles lui consacre un portrait aussi intime que poignant sous la forme d'un ouvrage au profil très "lagarcien"...

  • La Maison vide

    Un piano-fantôme, des rébellions au féminin pluriel, un phrasé unique... Ça déménage tout en maestria dans la maison vide de Laurent Mauvignier.

  • Put Your Soul on Your Hand and Walk

    "Quand tu sors à Gaza, tu mets ton âme dans ta main et tu marches"... La jeune photographe Fatma Hassouna a noué un lien à distance avec la réalisatrice Sepideh Farsi avant d'être tuée par une frappe israélienne. "Put Your Soul on Your Hand and Walk" nous laisse ses derniers sourires. 

  • À l'assaut du réel

    C'est la suite du déjà si génial "Apocalypse Cognitive"... Dans son nouvel essai, Gérald Bronner gamberge sur les avatars de la "pensée désirante" à l'ère de la "post-réalité" et sous l'empire de nouveaux mondes numériques. Passionnant et percutant.

  • Oui

    Ce "Oui" à tout, y compris à ce qui avilit... À l'ombre de Gaza et de la musique de Thelonious Monk, l'Israélien Nadav Lapid signe un récit puissant, convulsif et désespérant. On n'est pas prêt de s'en remettre.

  • Nino

    Entre un diagnostic qui n'est pas de son âge et le début de son traitement trois jours plus tard, Nino flotte comme en apnée devant la caméra si tactile de Pauline Loquès. Résultat: un diamant brut de sensibilité au diapason des masculinités contemporaines.