Edouard Ferlet au fil de l'Oise
Plus qu’incontournable…Indispensable ! Et ça fait près de trente ans que ça dure !
Près de trente ans, que Jazz au Fil de l’Oise nous fait adorer l’automne.
Grâce au festival, la saison n’est plus seulement synonyme de jours plus courts, mais de programmations toujours impeccables, et qui font vibrer le jazz pendant deux mois, à travers tout le Val d’Oise.
Il n’y en n’a pas beaucoup des rendez-vous aussi longs et qualitatifs, convoquant aussi bien la crème du genre que les talents de demain. Les répertoires confirmés que des créations inédites.
Samedi au Foyer Communal de Neuville, on retrouvera un aventurier, un homme qui imagine d’autres lendemain pour le piano : c’est Edouard Ferlet.
Parmi les projets qui lui tiennent à cœur en ce moment, il y a Pianoïd, qui interroge les relations entre son instrument, et les machines qui lui permettent de décupler ses possibilités.
Un terrain de jeu qui l’emmène tellement loin qu’il y a déjà consacré deux albums ainsi qu’un EP de remixes, et un autre où il ajoute des voix…Celles notamment de Lou Tavano, Macha Gharibian, et Marion Rampal.
Au passage, Edouard brouille les pistes entre jazz, électro, pop et chansons. Il vient tout nous expliquer ce midi dans Deli Express.
Jazz au Fil de l’Oise cette année, c’est aussi la venue d’un quartet qui fait bouger les lignes depuis plus de quinze ans maintenant.
Flash Pig célèbre la beauté et l’esthétique du film In the Mood For Love de Wong Kar-Wai, à travers l’album « The Mood For Love ».
Pour les applaudir, eux, ça se passe vendredi à l’Espace Rive Gauche de Mériel. Et pour ouvrir notre émission, voici un extrait de leur passage dans nos studios l’an passé, avec donc Maxime Sanchez au saxophone, son frère Adrien Sanchez au piano, Florent Nisse à la contrebasse et Gautier Garrigue à la batterie