Deuxième épisode consacré à l'âge d'or de Duke Ellington et du Blanton-Webster Band. En 1939, Duke embauche celui qui deviendra son alter ego et son bras droit : un jeune type de 16 ans son cadet, aux cheveux courts, le visage poupon marqué par de grosses lunettes rondes et une dégaine d’intellectuel : Billy Strayhorn, l'homme de Take The A Train ! Rediffusion
Du ragtime aux innovations les plus folles, Duke Ellington a élevé le jazz au rang de “grande musique”. Et parmi les différentes moutures de l'orchestre qu’il a dirigées pendant plus d’un demi-siècle, la plus remarquable est sans doute celle du début des années 40. Le basket a eu sa Dream Team, le Handball ses Experts, le football ses Galactiques ; En jazz, c’était Duke et le Blanton-Webster Band ! Rediffusion
Mais quelle est cette voix qui hurle à la lune, transie de froid et usée par l’asphalte ? Et bien c’est celle de Champion Jack Dupree, un homme pour qui chanter le blues n’était pas un vain mot. La vie “à la dure” ? Champion connaissait. Il était né dedans. Un mauvais sort qu’il aura conjuré du haut de sa gouaille et des 88 touches d’un piano. Rediffusion
Lorsqu’il prend les commandes de l'orchestre du Waldorf Astoria, le plus grand hôtel de New-York, Xavier Cugat revient de loin. En 1915, ses débuts avaient été calamiteux. Mais en ce milieu des années 1930, les choses ont bien changées. 60.000 cubains ont immigrés aux Etats-Unis, les orchestres afro-cubains pullulent et font swinguer les foules avec leurs danses exotiques. Pour Cugat, l'heure de gloire est arrivée ! Rediffusion