Le théâtre des Bouffes Parisiens présente actuellement la pièce d’Isabelle Le Nouvel « 88 fois l’infini » avec Niels Arestrup et François Berléand . A la suite d'une rivalité amoureuse, deux demi frères ont refusé de se voir pendant 13 ans. Mais un jour le premier rend visite au second. Avec lui, il transporte une valise qui contient de lourds secrets . Rencontre avec François Berléand.

Il y a des symboles qui ne trompent pas et qui scellent un destin ! 

Celui de Thomas Curbillon a été placé dès le premier jour sous le signe de la guitare !

Il y a d’abord son papa, Gérard Curbillon, grand guitariste dans la lignée de Kenny Burrell, l’un de ses héros absolus !

Il y a ensuite son prénom, Thomas, un clin d’œil à René (...)

Deuxième épisode consacré à l'âge d'or de Duke Ellington et du Blanton-Webster Band. En 1939, Duke embauche celui qui deviendra son alter ego et son bras droit : un jeune type de 16 ans son cadet, aux cheveux courts, le visage poupon marqué par de grosses lunettes rondes et une dégaine d’intellectuel : Billy Strayhorn, l'homme de Take The A Train !

Sortie aux éditions La Tengo du livre de Christophe Geudin et Jérémie Imbert « Le cinéma de Benoit Delépine et Gustave Kervern » . Ecrit en collaboration avec les deux cinéastes acteurs, l’ouvrage évoque leur univers hors du commun,  « D'Aaltra » tourné en 2004 à « Effacer l'historique » l’année dernière. On trouve aussi au fil des pages, des témoignages d’acteurs qui ont tourné dans leurs films . De Jean Dujardin à Albert Dupontel, (...)

Du ragtime aux innovations les plus folles, Duke Ellington a élevé le jazz au rang de “grande musique”. Et parmi les différentes moutures de l'orchestre qu’il a dirigées pendant plus d’un demi-siècle, la plus remarquable est sans doute celle du début des années 40. Le basket a eu sa Dream Team, le Handball ses Experts, le football ses Galactiques ; En jazz, c’était Duke et le Blanton-Webster Band !