Le Théâtre Hébertot présente pour la troisième saison et jusqu’au 4 janvier prochain la pièce “12 Hommes en Colère”. Un spectacle qui compte déjà 250 000 spectateurs, et dont le succès ne semble pas prêt de s’arrêter. Pourtant, l’histoire ne date pas d’hier. C’est en 1953 que l’auteur américain Reginald Rose publie ce huis clos entre 12 jurés chargés de trancher du sort d’un présumé assassin. Une question de vie (...)

"Moteur… ça tourne… action !!!" San Francisco, 1968. Devant la caméra de Peter Yates, Steve McQueen et la musique de Lalo Schifrin. Bullitt ! Un flic, un homme politique, un truand, un assassinat et la plus célèbre course poursuite de l’histoire du cinéma ! Aux antipodes de la B.O. millimétrée de Bullitt, celle outrageusement poisseuse, sexy et bordélique de Sweet Sweetback’s Baadassss Song de Melvin Van Peelbes en 1971.

« En 1948, j’ai rejoint Lionel Hampton pour chanter dans son orchestre. (…) Je n’aimais pas particulièrement sa musique mais j’étais là pour danser et il s’est trouvé que sa chanteuse partait. Mes copains m’ont poussée pour que je prenne sa place. Alors Lionel Hampton m’a invitée sur scène et j’y suis allée, supportée par ma clique, qui m’encourageait. Hamp m’a rappelée, et deux semaines plus tard, je rejoignais l'orchestre (...)

Mais de quel genre on parle ? Fantastique, épouvante, aliens, vampires, morts-vivants, polar, yakuzas, gore, érotisme ou western : il y a autant de genres dans le cinéma de genre que de genres dans le jazz. Vous suivez ? Non ? Heureusement, il y a Bandes originales & cinéma de genre par Ludovic Villard, un ouvrage roboratif et passionnant aux éditions Le Mot et le Reste.

« Apollinaire Corps Accords », c’est une pièce musicale imaginée par la comédienne Axelle du Rouret autour des mots de Guillaume Apollinaire. C’est dans un club que ce projet a pris forme dans son esprit : sur scène, il avait deux frères, deux jumeaux, deux jazzmen : François et Louis Moutin. C’est en les regardant qu’elle a compris que c’était avec eux qu’il fallait créer ce spectacle, parce que leur (...)