Jane par Charlotte
Charlotte Gainsbourg derrière la caméra dans "Jane par Charlotte", portrait tout en fêlures et en grâce de sa mère, Jane Birkin.
Charlotte Gainsbourg derrière la caméra dans "Jane par Charlotte", portrait tout en fêlures et en grâce de sa mère, Jane Birkin.
Avec "Licorice Pizza" et son Los Angeles vintage des années 70, Paul Thomas Anderson signe une ode à la jeunesse dont les adultes viennent gâcher la fête. Le film prend alors un méchant coup de vieux.
Malgré la performance exceptionnelle d'Olivia Colman en mère coupable (ou plutôt qui se sent coupable), essai à moitié réussi pour "The Lost Daughter", premier long-métrage de Maggie Gyllenhaal primé à Venise et diffusé sur Netflix.
Interminable pudding... Avec "Don't Look Up" , sa comète tueuse et son ton faussement transgressif, Netflix et Adam McKay transforment leur bouquet final 2021 en feu d'artifice raté.
L'anthologie de Steve McQueen sur l'Angleterre afro-caribéenne, une jungle japonaise qui pulvérise tous les paramètres du cinéma français, ou encore la douce douleur d'exister de "Drive my car"... Voici le meilleur du cinéma en 2021.
Poker amorphe entrecroisant trauma irakien, casinos-cartes postales et personnages sans intérêt. Avec "The Card Counter", Paul Schrader s'enfonce dans ses impasses désormais récurrentes.
Le retour d'écriture d'une romancière à succès, Detroit qui sombre et qui danse, un "Shining" à ciel ouvert ou encore les abysses d'un sacré fait-divers... Voici le meilleur des lectures en 2021.
Après le classement de l'équipe de TSFJAZZ, un palmarès plus personnel avec le souffle envoûtant de Pharoah Sanders, la leçon de vie en forme de carnet de bord de Samy Thiébault et les couleurs floréales de Gretchen Parlato
Adapté d'un récit méconnu de Philip Roth, "Tromperie" permet surtout à Arnaud Desplechin de renouer avec un cinéma de l'entre-soi.
Entre comédie et drame, Paolo Sorrentino propose son album de jeunesse à Netflix, du temps où un certain Maradona, alias "La Main de Dieu" enflammait Naples. On n'est pas très loin du hors-jeu.
Pour son retour en Iran, Asghar Farhadi met en scène un dilemme dont il a le secret autour d'un sac rempli de pièces d'or. Impressionnante densité narrative, même si la mise en scène aurait gagné à être davantage aérée.