• Jean-Pierre Marielle, de Faulkner à Duke Ellington...

    Monstre sacré de la scène et du 7e art, Jean-Pierre Marielle, qui vient de nous quitter, était intarissable dés qu'on lui parlait jazz. Il avait publié en 2010 un fabuleux recueil de souvenirs...

  • L'Adieu à la nuit

    Le Jihad est dans le pré, pour le meilleur et surtout pour le pire. Le nouveau film d'André Téchiné, "L'Adieu à la nuit", montre décidément à quel point l'univers du réalisateur ne se prête guère à certains sujets d'actualité.

  • Le Livre d'image

    Le dernier Godard mode d'emploi. Ou comment ce "livre d'image" -au singulier- peut retrouver formes -au pluriel.

  • Première campagne

    Qui entretient le plus le mystère dans "Première campagne", d'Audrey Gordon? Emmanuel Macron, ou alors la jeune reporter de France 2 qui couvre ses meetings en renversant bien des idées reçues sur les journalistes politiques?

  • La dernière chasse

    Le cru Jean-Christophe Grangé 2019 débarque sous la forme d'un thriller germanophobe, "La Dernière chasse". Son enquêteur tout rouillé parvient néanmoins à éveiller l'intérêt.

  • Les Sorcières de Salem

    On se damnerait pour une "sorcière" comme Elodie Bouchez... Pour le reste, la relecture de la célèbre pièce d'Arthur Miller pêche par lourdeur malgré un très bel écrin scénographique.

  • Un symbole du mouvement des droits civiques incendié dans le Tennessee

  • Come What May

    Bluffantes d'empathie et de frénésie, les retrouvailles du saxophoniste Joshua Redman avec son ancien quartet sont propices à l'un de ses albums les plus accomplis.

  • J'veux du soleil

    Signé Ruffin ! "J'veux du soleil" résume sans dévier l'empathie du député-cinéaste pour les gilets jaunes. Ainsi que le statut qu'il entend se donner à travers ce mouvement.

  • Notre Agnès...

    Agnès Varda a rejoint Jacques Demy. Comme lui, elle mêlait dans son œuvre enchantement et amertume avec un grand esprit de liberté.

  • Le Pays Lointain

    Il n'y a qu'en "Pays Lointain" qu'on peut réunir tous ses proches. Jean-Luc Lagarce revisité sur la scène de l'Odéon au travers d'un texte essentiel du théâtre contemporain, mais dont la mise en scène peine à transmettre toute la force d'émotion.