Ibrahim Maalouf a été relaxé par la cour d'appel de Paris. Mis en cause pour des faits supposés d'agression sexuelle sur une mineure de 14 ans en 2013, le trompettiste avait été condamné en première instance à quatre mois de prison avec sursis et 20.000 euros d'amende. Blanchi de ces accusations et désormais soulagé, Ibrahim Maalouf, qui n'était pas présent lors de ce jugement en appel, a toujours nié la moindre agression sexuelle. Il avait seulement reconnu qu'il aurait dû "installer des limites" avec la jeune fille dont les parents avaient porté plainte et qui était alors en stage dans son studio d'enregistement au moment des faits.