Du rififi dans la scène jazz nantaise... Le conseil d'administration de "Nantes jazz action", qui gère notamment le Pannonica, une salle de jazz et de musiques expérimentales, a démissionné collectivement. Le conflit s'est cristallisé autour de la venue d'un nouveau directeur recruté par les tutelles financières mais dont l'autorité était de plus en plus contestée par les membres de l'équipe, ce qui a conduit différents partenaires à couper les subventions dont le Pannonica bénéficiait. La ville de Nantes, où la socialiste Johanna Rolland a été récemment réélue, n'a souhaité faire aucun commentaire.